Cette année 2024-2025, de nombreux projets pédagogiques innovants ont vu le jour, parmi lesquels la rédaction de ce journal des élèves de Yavné, sous la direction de mon adjointe, Madame SROUSSI, dans le cadre de l’atelier d’éducation en média et à l’information.
Ce premier numéro revient sur la première cérémonie de commémoration du 7 octobre. Le 7 octobre 2024, notre école a organisé une magnifique commémoration du pire pogrom connu au XXIe siècle, celui commis par les terroristes du Hamas en Israël, il y a un an. Cette commémoration, unique et marquante par la solennité du moment et l’attitude exemplaire de nos élèves, du plus petit au plus grand, est aujourd’hui restituée par nos élèves de seconde.
Ce premier numéro du journal de l’école donne aussi la parole à de nouveaux arrivants à Yavné : professeurs et élèves, ainsi qu’à des rubriques variées propres à tout journal, comme la cuisine ou les fêtes.
Il annonce de nombreux autres numéros, riches de « nouvelles Yavné » et toujours empreints de l’esprit « Yavné », qui met en avant le partage, la bienveillance, la volonté de progrès et l’épanouissement de tous.
Notre école, nos histoires, votre journal
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Le 7 octobre 2024, notre école a commémoré l’attentat terroriste commis par le Hamas en Israël le 7 octobre 2023, en organisant un rassemblement de tous ses élèves de la maternelle à la terminale et de toute la communauté éducative, en présence d’éminents membres de notre communauté mais aussi de la mairie, de la préfecture et du département.
La journée était ensoleillée. Comme pour faire un pied-de-nez à la haine aveugle des terroristes, toute l’école était rassemblée dans la cour, sous un soleil radieux. Vêtus de noir mais portant tous et toutes un ruban jaune, symbole de l’horreur terroriste subie ce jour funeste par des civils israéliens venus fêter la musique et l’amour de la vie, tous les élèves de l’école étaient là, en l’honneur de leurs frères et seurs juifs assassinés parce que juifs.
Face à des élèves attentifs et concentrés et après un discours introductif de notre directeur, M. Daniel DUBREUIL, les personnalités invitées ont toutes pris la parole pour exprimer leur tristesse, leur compassion face à ce massacre commis par les islamistes en Israël, le 7 octobre 2023. Des élèves issus de toutes les classes du primaire et du collège-lycée ont allumé des bougies. Puis, les plus petits ont lâché des ballons jaunes dans les airs.
La cérémonie digne et émouvante a été clôturée par l’inauguration d’une plaque commémorative sous le préau de notre cour.
Un grand merci aux invités de la cérémonie : M. Lionel Stora, président du FSJU Marseille, Mme Martine Vassal, présidente du Conseil Général des BDR, M. Colliex, préfet de police des BDR, Mme Fabienne Bendayan, présidente du CRIF Marseille-Provence, Mme Bareille, maire des 13ème et 14ème arrts, Mme Lelouis, députée de notre circonscription, Mme Céline Saadoun, directrice du Consistoire de Marseille, M. Sperling, M. Teboul membres du Conseil d’Administration de l’association Yavné.
1. Quelle leçon peut-on tirer du 7 octobre ?
Je ne pense pas qu’il y ait une leçon particulière à tirer mais plutôt qu’une réflexion s’est mise en marche. On a reçu un choc, ça c’est certain, et de ce choc, le peuple juif a réagi : nous nous sommes unis, nous avons essayé de faire plus de choses ensemble et de prier davantage. Surtout, nous avons aussi compris qui étaient les ennemis en face de nous et ce dont ils étaient capables. Peut-être que nous n’en avions pas conscience avant, et là, c’est malheureusement chose faite. Le 7 octobre a changé notre vision, notre façon de voir les choses. Depuis le 7 octobre, nous vivons au diapason de ce qu’il se passe en Israël. Donc nous en avons tiré une leçon : nous nous devons d’être plus solidaires, plus vigilants et à jamais unis.
2. Quel rôle les médias ont-ils joué dans la couverture de événements ?
Certains médias ont joué le jeu et ont fait leur travail, c’est à dire, retranscrire de manière objective la réalité des faits. Malheureusement, nous avons assisté à de nombreux débordements de la part de médias qui ont pris parti, qui ont jugé Israël et qui ont transformé la vérité. C’est une leçon pour des jeunes comme vous, cela doit vous rendre vigilants sur tout ce que vous lisez et tout ce que vous entendez. Je pense aussi aux réseaux sociaux : vous ne devez pas les prendre pour argent comptant.
Vous devez apprendre, déjà à votre âge, à avoir un esprit critique. Ne pas penser que tout ce qui est écrit dans un journal, sur TikTok, ou dans un journal télévisé, est vrai. Il faut toujours s’efforcer de distinguer le mensonge et la vérité. Il y a des vérités que l’on voudrait nous faire croire. Voilà, je crois qu’il faut être extrêmement prudent.
3. Qu’est-ce que le 7 octobre a changé sur le plan de la géopolitique mondiale ?
Le 7 octobre a peut-être permis la prise de conscience d’un phénomène qui s’est répandu partout dans le monde aujourd’hui : il s’agit du terrorisme issu de l’islam radical. En réalité, ce que vit Israël nous concerne tous, en Europe, en Amérique, en Asie, partout.
Ces groupuscules politico-religieux sont dangereux et constituent une nouvelle forme de totalitarisme (comme le nazisme) qu’il faut combattre dans tous les pays du monde.
Je crois que l’ampleur du phénomène en Israël a malgré tout fait prendre conscience aux États qu’il allait falloir combattre ce monstre tous ensemble. Certains pays, notamment occidentaux, sont encore dans le déni, mais cela ne pourra pas durer…
1. Quelle leçon peut-on tirer du 7 octobre ?
Surtout, ne jamais rien lâcher, rester debout et œuvrer pour que la paix revienne.
2. Est-ce que le 7 octobre a changé la donne géopolitique mondiale ?
Pour des personnes qui sont attachées à la démocratie, le 7 octobre est un jour qu’on n’aurait jamais pensé vivre. Ce jour-là s’est passé en pleine lumière. Comme ça s’est déjà produit lors d’autres génocides, des gens qui faisaient la fête, des gens qui prônaient la paix, ont été tués, assassinés et ont été kidnappés par des terroristes. Ces terroristes, ce sont des membres du Hamas qui aujourd’hui se réfugient derrière des civils pour se protéger et ça c’est inacceptable.
Il est inacceptable qu’un pays de liberté comme Israël puisse être empêché de vivre normalement. Et donc nous, nous nous battrons toujours pour que la liberté, l’égalité, la fraternité perdurent bien sûr dans notre pays mais aussi dans le monde entier. Aujourd’hui, on comprend qu’Israël doit se défendre et rester debout parce que ce sont nos valeurs qui sont mises à mal si jamais les terroristes gagnent.
Notre Directeur était à l’antenne de Radio JM le 20 novembre 2024 pour lancer la campagne d’inscriptions pour la rentrée scolaire 2025-2026. Rendez-vous sur le nouveau site web de Yavné pour découvrir l’interview et aussi le nouveau spot radio !
1. Est-ce que le 7 octobre a changé la donne géopolitique mondiale ?
Le 7 octobre a changé la donne sur le plan géopolitique puisque la guerre qui se passe aujourd’hui au Proche-Orient a été déclenchée précisément par le programme du 7 octobre. Donc en fait c’est le 7 octobre qui est la genèse de ce conflit aujourd’hui dont on parle tellement aux Proches-Orients, entre Israël et les organisations terroristes du Hamas, du Hezbollah et les autres proxys de l’Iran.
Donc c’est ce 7 octobre qui a été finalement l’étincelle qui a déclenché cette guerre.
2. Quel rôle les médias ont-ils joué dans la couverture de événements ?
Les médias ont joué un rôle d’information par rapport à ce qui s’est produit. Je crois que sur la journée du 7 octobre et le pogrom qui a été commis en Israël, unanimement, la presse a condamné et s’est fait le relais de cette tragédie qui encore une fois a touché Israël et le peuple juif à travers le monde. La difficulté est plutôt liée à la désinformation qui, elle, est intervenue au lendemain du 7 octobre avec certains médias qui sont promptes à condamner l’Etat d’Israël, qui malheureusement n’ont pas l’objectivité nécessaire qu’un journaliste doit, parmi les priorités et les valeurs portées, donc voilà.
3. Quelle leçon peut-on tirer du 7 octobre ?
Je crois que la principale leçon, c’est que la barbarie et la haine doivent être combattues, quoi qu’il arrive. Le rejet de l’autre, l’antisémitisme, le racisme, ce sont des sentiments qu’il faut combattre absolument.
Et ce 7 octobre a été une tragédie pour le peuple juif dans son ensemble, pour les Israéliens bien sûr, mais ça nous a affecté en tant que juifs partout dans le monde, en France en particulier. Et je crois que ce qu’il faut se rappeler, c’est que le peuple juif a traversé énormément d’épreuves depuis des millénaires, mais qu’il a toujours survécu grâce à sa force, sa résilience.Et ce qui aujourd’hui est important, c’est de conserver ses valeurs d’unité, de fraternité, de solidarité.
Kippour
> Aaron Moral
Yom Kippour, le jour du Grand Pardon, est placé sous le signe du repentir. Il conclut la période des « Jours Redoutables », qui débute à Roch Hachana, le Nouvel An juif. C’est un jour de réflexion profonde, de prières et de réconciliation, Yom Kippour invite à un retour sur soi et à une quête de pardon et de purification. Jour le plus sacré de l’année juive, il a lieu le dixième jour de Tishri.
À l’occasion de Yom Kippour, les fidèles observent une interdiction totale de manger et de boire pendant une durée de vingt-cinq heures. Durant cette journée, il est également interdit de se laver ou de porter des chaussures en cuir, marquant ainsi une rupture avec le confort matériel.
SOUCCOT
>Gabriel Benibgui S2
Souccot est l’une des fêtes les plus joyeuses des fêtes juives ; elle est d’ailleurs appelée « Epoque de Réjouissance » dans la prière. La fête de Souccot débute le 15 Tishri. Elle est immédiatement suivie par la fête de Shemini Atsérêt. Souccot, aussi connue sous le nom de la Fête des cabanes, célèbre la récolte et commémore la période où les Israélites ont erré dans le désert après leur sortie d’Égypte. Elle dure sept jours en Israël et huit jours dans le reste du monde. Durant Souccot, les familles construisent une soucca, une sorte de cabane temporaire, où elles prennent leurs repas et parfois dorment.
Cette tradition rappelle les huttes utilisées par les ancêtres pendant leur traversée du désert. Les souccot doivent avoir un toit fait de matériaux naturels, permettant de voir les étoiles. Un autre aspect important de Souccot est la constitution d’un kit composé de « Quatre Espèces » : le palmier, le myrte, le saule et le citron. Ces éléments sont utilisés lors de prières et symbolisent l’unité du peuple juif. Souccot est une période de joie, de partage et de gratitude pour les récoltes, mais aussi un moment de réflexion sur l’histoire et l’identité juives. C’est l’occasion de se rassembler en famille et entre amis, tout en célébrant les traditions culturelles. En conclusion, Souccot est une fête riche en significations, qui allie convivialité, spiritualité et mémoire collective.
Vivre dans la soucca est un gage de longévité.
Celui qui respectera les lois et préceptes de la soucca méritera de vivre sans dépression, colère ni tristesse.
Le saviez-vous ?
Lorsque nous sommes sortis d’Egypte, Hachem nous a entourés de colonnes de nuées et la soucca nous rappelle ces nuées. Ainsi, habiter dans la soucca est une segoula pour bénéficier de la protection d’Hachem et faire le plein de bénédictions. D’ailleurs, une soucca doit avoir au minimum 3 côtés comme si Hachem nous prenait dans ses bras !
1. Quel a été votre parcours avant votre arrivée à Yavné cette année ?
J’ai grandi à Sarcelles, où j’ai été profondément marqué par la diversité de la communauté juive. J’ai eu la chance de fréquenter plusieurs écoles juives, ce qui m’a permis de m’enrichir grâce à des influences culturelles variées. Par la suite, j’ai poursuivi mes études à la Yéchiva en Alsace, puis en Israël. J’ai eu l’honneur d’être formé en Halakha auprès de rabbins influents, ce qui m’a permis d’obtenir ma smikha (diplôme rabbinique).
J’ai décidé de me lancer dans l’enseignement, une vocation qui m’anime depuis plus de dix ans au sein de différents établissements.
2. Pourquoi avoir choisi Yavné ?
Ma passion pour l’étude et l’enseignement m’a naturellement conduit à choisir Yavné. Je souhaitais y transmettre une approche rigoureuse du Kodesh tout en offrant à mes élèves un environnement d’apprentissage respectueux et stimulant. Mon ambition est de les aider à renforcer leur identité juive en leur donnant des outils solides pour leur développement personnel et spirituel.
3. Quelle est votre vision de l’enseignement religieux ?
Pour moi, enseigner va bien au-delà de la simple transmission de connaissances. Mon objectif est d’éveiller mes élèves à une réflexion profonde sur le sens des textes et de contribuer à leur épanouissement spirituel. Je cherche à consolider leur identité juive.
4. Quels sont vos projets ?
J’ai plusieurs projets en tête que j’espère voir se concrétiser avec l’accord de Yavné. Parmi eux, la création d’une brochure regroupant les connaissances de base pour toutes les classes, ainsi qu’une frise historique interactive. Mon objectif est de structurer et enrichir l’apprentissage pour permettre aux élèves de mieux comprendre et apprécier leur patrimoine religieux. Ces initiatives visent à donner une vision claire et engageante de notre tradition, en renforçant leur lien avec elle.
Ce numéro a été réalisé par les élèves de Secondes de l’atelier Education aux médias et à l’information
- Rédactrice en Chef : Mme SROUSSI
- Maquettiste, coordinateur : Royi Lévy
Rédacteurs, rédactrices, photographes :
- Aaron Morali
- Noah Nabet
- Aaron Cohen
- Midaya Perez
- Gabriel Benibgui
- Lana Castro
- Chelsea Amsellem
- Shanna Boclot
- Romy Hadjadj
- Kausay David Maldonado Bohbot
- Ilona Zarhi
Cette année, de nombreux élèves ont rejoint notre belle école. Ilona Zarhi a interrogé quelques nouveaux arrivés au lycée et leur a demandé d’où ils venaient et comment s’est passée leur intégration.
Midaya Pérez, Seconde
Je viens du Gan Mordechai et j’y suis restée l’année de 3ᵉ. Depuis l’année dernière, il était prévu que je vienne à Yavné, mais ma moyenne n’était pas assez bonne. J’ai donc décidé d’obtenir mon brevet et ensuite de venir dans cette école. C’est l’école juive la plus proche de chez moi, sérieuse et studieuse, avec une bonne mentalité juive. Je m’y suis rapidement intégrée, car je connaissais déjà des élèves en dehors de l’école. Mais bien évidemment, je ne les connaissais pas tous. En apprenant à les connaître, je les trouve tous formidables. Ils font tout pour me mettre à l’aise et en confiance.
Aaron Morali, Seconde
Je viens d’une école qui n’est pas loin : le Gan Mordekhaï. Je n’avais pas beaucoup de raisons de partir, si ce n’est que le lycée n’était pas sûr d’ouvrir. L’école Yavné m’a donc paru être un bon choix pour mes études, car je voulais rester dans une école juive. C’est vrai qu’il y a quelques années, mes parents ne voulaient pas m’y inscrire, mais maintenant que j’y suis, et je ne regrette pas. Je me suis bien acclimaté à cette école, car beaucoup d’élèves de cette école viennent du Gan Mordekhaï, ce qui a rendu mon intégration plus facile. C’est vrai que j’ai beaucoup d’amis .
Ethan Bendanan, Seconde
Je viens du Bnéi Elazar. J’ai choisi Yavné car j’ai eu de bons retours sur cette école, et elle se trouve proche de chez moi. Elle m’a paru être une excellente école pour mon avenir. J’y ai également retrouvé l’esprit de l’école qui a marqué mon enfance. Je me suis plutôt bien intégré grâce à ma classe, qui s’est énormément intéressée à moi et m’a beaucoup aidé à rattraper les cours que j’avais manqués, ce que mon ancienne école ne faisait pas à mon arrivée. La direction m’a très bien accueilli et m’a expliqué comment l’école fonctionnait. J’ai également reçu une énorme aide de mon cousin, qui est dans cette école, et qui m’a aidé à trouver ma place. Merci, Yavné !
Axel Nabet, Première
Je viens du lycée Sainte-Catherine de Sienne à Aix-en-Provence. Je suis venu à Yavné dans le but de me rapprocher de la religion, de participer à des cours de Torah, et de bénéficier d’un temps adapté le matin pour faire ma téfila avec un minyan. Je me suis bien intégré, car je connaissais déjà des personnes dans cette école, y compris mon cousin Noah en seconde. De plus, des élèves de ma classe sont venus vers moi pour bien m’accueillir.
Linoi Teboul, Première
Je viens du Gan Ami et j’ai choisi Yavné, car cette école m’a semblé très accueillante et parfaite pour la suite de mes études. Je me suis bien intégrée, car les gens étaient très accueillants et chaleureux, notamment grâce au voyage en Pologne qui a créé de forts liens d’amitié entre mes camarades et moi. Je me suis senti comme l’une des leurs.
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Les Makrouds de Tata Romy
Pour cette recette il vous faut :
> 1 litre d’huile (friture)
> 1 pot de miel
> 1 pincée de sel
> 100 g de margarine (50 g d’huile)
> 400g de semoule de blé moyenne
> 500g de pâte de datte
> 5 cuillères de café d’eau de fleur d’oranger
> 1 pincée de cannelle (facultatif)
> 1 verre d’eau
Réaliser la recette :
> Préparer une première pâte avec la semoule, la matière grasse, le sel, un verre d’eau et 4 cuillerées à café d’eau de fleur d’oranger.
> Mélanger l’ensemble et rouler la pâte pour former un long boudin.
> Ensuite, préparer une 2ème pâte avec la pâte de dattes, la cannelle et la dernière cuillerée d’eau de fleur d’oranger
> La passer au micro-ondes quelques secondes pour qu’elle soit plus malléable.
> Mélanger et former un second boudin.
> Creuser une tranchée dans la première pâte puis y mettre la pâte de dattes en boudin.
> Rouler afin de fermer de façon homogène.
> Couper le boudin obtenu en losanges. Pour la cuisson : faites-les frire dans un bain d’huile.
> Juste après la cuisson, chauffer un bol de miel au micro-ondes pendant 1 minute
> Ajouter un peu d’eau pour le rendre un peu plus liquide et tremper les makrouds dans le miel.
> Les égoutter sur une grille et laisser refroidir dans une assiette.